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#SaraNétanyahou, la scandaleuse "première dame" d'#Israël

Publié le par Isabelle DEMETTRE

Psychologue le jour, aux manettes de l'État hébreu dans l'ombre... L'épouse du premier ministre israélien est loin de multiplier les adeptes. Reconnue coupable dans une affaire de fraude, elle multiplie les frasques depuis des années. Portrait.

Portrait de Sara Nétanyahou première dame d'Israël
Sara Nétanyahou est la femme du chef de l'exécutif israélien depuis 1991. (Jérusalem, le 25 novembre 2018.) Heidi Levine / AFP

Quand la première dame se rêve en reine-mère d’Israël. Sara Nétanyahou, l’épouse du premier ministre de l'État hébreu, n’en finit pas de faire parler d’elle. Depuis plusieurs années, elle et son mari font l’objet de soupçons de corruption. Des soupçons devenus une réalité, il y a un an, lorsque le ministère de la Justice israélien a annoncé la mise en examen pour «fraude systématique» et «abus de confiance» de la femme de Benyamin Nétanyahou.

Ce qu’on lui reproche ? D’avoir facturé aux contribuables des centaines de repas, sortis des cuisines des meilleurs restaurants de Jérusalem et livrés à domicile. Alors même qu'un cuisinier œuvre toute l’année à Beit Aghion, la résidence officielle du chef de l’exécutif israélien. Montant des courses : «Plus de 350.000 shekels» (soit environ 86.500 euros, NDLR) auraient été dépensés, selon l’acte d’inculpation. Qui plus est, Sara Nétanyahou aurait tenté de maquiller l’emploi de son cuisinier attitré pour le faire disparaître de la comptabilité.

Un vol New York-Tel Aviv décisif

Ce n’est d'ailleurs pas la première fois que le train de vie du couple Nétanyahou est pointé du doigt. En 2013, son budget crème glacée (2200 euros par an pour des glaces à la pistache) avait défrayé la chronique au moment même où le leader du Likoud (droite) essayait d’imposer un plan d’austérité, précise Libération. Trois mois plus tard, c'était le «Bedgate» : la mise en place d'une chambre, avec lit double, dans le Boeing qui les emmenait, lui et Sara, aux obsèques de Margaret Thatcher. Un vol qui aura coûté la bagatelle de 127.000 dollars (l’équivalent de 113.000 euros) à la présidence du Conseil israélien.

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